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Mon Âme Bénis l'Eternel !

… Le mot mort, nous l'entendons souvent.

… Le mot mort, nous l'entendons souvent. Nous nous réjouissons que cette mort physique a été vaincue par Jésus. Mais quelle résonance particulière ce mot a-t-il pour nous, s'agissant de notre propre mort physique, du moins tel que nous l'envisageons ?

Devons-nous en parler ? Est-elle différente pour nous les chrétiens ? Je vais tenter d'apporter quelques éléments de réponse à ces interrogations.

Tout d'abord, la mort est inévitable. Dieu aurait voulu que les hommes n'aient jamais affaire à elle. Et pourtant, elle les frappe tous, grands, petits, riches ou pauvres. La mort est qualifiée par la Parole de Dieu de « dernier ennemi ». Elle maintient beaucoup de gens dans la crainte, et on essaye d'en parler le moins possible.

Qui d'entre nous peut dire qu'il n'a jamais pensé à la mort ? Le Seigneur a mis en nous la pensée de l'éternité. Mais à cause du péché, nous avons aussi la pensée de la mort. L'apôtre Paul ne dit-il pas dans Romain. 6.23, « le salaire du péché, c'est la mort » ?

Tout être humain éprouve plus ou moins la crainte de la mort. A des degrés divers, elle traîne au fond de nos cœurs. Jacob déjà la décrivait comme le « roi des épouvantes ».

Quand la crainte de la mort n'est pas vaincue, elle va en augmentant avec le temps qui passe. C'est pourquoi l'enfant a moins peur de la mort que l'adulte, et l'adulte moins que le vieillard.

Cette crainte de la mort est-elle justifiée ? Oui, pour celui dont Jésus n'est pas le sauveur.
Car l'homme inconverti se rend compte qu'après la mort vient le jugement, comme le dit d'ailleurs la Bible en Hébreux 9.27 « tout être humain est destiné à mourir une seule fois, puis à être jugé par Dieu ». L'homme se sent partir vers un gouffre, vers le jugement.

On rapporte qu'une reine d'Angleterre s'est écriée, sur son lit de mort : « la moitié de mon royaume pour celui qui me prolongera la vie d'un quart d'heure ». Il y a bien dans cette phrase un certain désarroi !

On rapporte également qu'un autre grand seigneur anglais, qui avait renié la foi et souvent défié la mort et Dieu, déclara, en tremblant de peur, avant de succomber : « je croyais jusqu'ici qu'il n'y avait ni Dieu, ni enfer. Maintenant, je sais que les deux existent et que je suis perdu ».



15/01/2012
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