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Mon Âme Bénis l'Eternel !

De l'athéisme scientifique à la foi

De l'athéisme scientifique à la foi

 
Arrière-plan
 
 
Je m’appelle Dimitri Kouznetsov. Je suis né en
1955 à Moscou, la capitale de l’ancienne URSS, dans une famille athée et
communiste. A l’université, certains cours de philosophie étaient réservés à ce
qu’on appelait l’athéisme scientifique. C’était une sorte d’étude comparative
des religions, totalement négative et destructrice. Mais cela m’a permis, malgré
tout, d’apprendre quelque chose sur la religion. J’étais d’accord avec
l’enseignement reçu. Je pensais que la religion était une sorte de médicament ou
de drogue pour les faibles…
 
Un conte de fées
 
Avant l’âge de 24 ans, je n’ai pas eu la
possibilité de toucher une Bible. Mais peu après mon 24ème anniversaire, un de
mes amis m’en a prêté une, juste pour que je la lise pendant deux ou trois
soirées. Ce livre était pratiquement illégal en Russie et très difficile à
trouver. Je me souviens bien de ma première impression en la lisant. Je trouvais
que c’était un conte de fées. Pour moi, elle n’était pas vraie, mais cependant
intéressante pour les documents historiques qu’elle contenait.
 
Très occupé par ma carrière, j’ai arrêté de la
lire, et je l’ai même oubliée. Après avoir obtenu un doctorat en médecine, j’ai
étudié pendant trois ans la biochimie avec, comme spécialité, la chimie
bipolymère. Ensuite, j’ai obtenu un diplôme en biologie, l’équivalent d’un
doctorat en Amérique, à l’université de Princetown dans le New Jersey, pour une
année de pratique post-doctorat.
 
Rentré au pays, j’ai commencé à travailler
comme chercheur scientifique pour l’Institut de Chimie, qui est membre de
l’Académie Russe des Sciences. Neuf ans plus tard, le gouvernement de l’Union
Soviétique m’a donné un doctorat honorifique en sciences : c’est le niveau le
plus élevé de diplôme scientifique en Russie. J’avais déjà reçu le prix
Lénine-Komsomol, un prix décerné à des scientifiques de moins de trente
ans.
 
Evidences scientifiques
 
Lorsque j’étais étudiant à l’université, j’ai
vu un jour des jeunes qui distribuaient des brochures de manière tout à fait
illégale. Ils m’ont donné un petit ouvrage en russe, écrit par un scientifique
américain. J’ai commencé à le lire, et je fus très surpris par les arguments
très clairs sur le plan scientifique, des arguments qui mettaient en évidence
l’harmonie entre les découvertes scientifiques et la doctrine de la création.
Mon intérêt fut éveillé, j’ai commencé à étudier et j’ai découvert que les
scientifiques les plus brillants du passé, dans la société russe, étaient des
croyants.
 
J’ai rencontré, moi aussi, beaucoup
d’intellectuels qui étaient de vrais croyants. Ils semblaient toujours heureux,
et je sentais que leur bonheur ne dépendait pas des circonstances extérieures.
J’en déduisis qu’ils avaient peut-être quelque chose que je n’avais pas.
 
Cheminement
 
Peu à peu, je me suis mis à lire la Bible. Au
début, sa lecture me rendait fou, parce que je ne comprenais rien. J’étais très
fier de moi-même à cause de ma réussite. Je pensais que j’étais un jeune homme
intelligent, instruit, et là, en lisant ce livre, je ne comprenais rien.
 
Un ami chrétien m’a dit que ma manière de lire
la Bible était mauvaise, que la Bible est un livre que nous devons lire en
restant en contact permanent avec son auteur, et qu’il fallait que je demande à
l’auteur de me l’expliquer. Et ce fut là la raison de ma première prière : «
Seigneur, lui dis-je, si vraiment tu existes, explique-moi quelque chose dans le
livre ! » Et il m’a exaucé dès le lendemain matin. J’ai lu le début de
l’Evangile de Jean : « Au commencement était la Parole ». Le mot grec « logos »
veut dire beaucoup plus que « parole » ; par extension, il a aussi le sens de :
information, connaissance, sagesse…
 
C’était comme une découverte scientifique pour
moi : en effet, une seule cellule de l’être humain contient plus d’informations
que toute la Bibliothèque du Congrès des Etats-Unis. Or, la Bibliothèque du
Congrès des Etats-Unis n’est pas le résultat d’une explosion dans une
imprimerie, c’est le fruit d’un travail créatif de beaucoup de personnes. Ce
seul verset de la Bible m’expliquait plus sur la théorie de l’information que
des livres entiers que j’avais lus.
 
Ensuite, j’ai commencé à prier régulièrement.
J’ai invité le Seigneur Jésus à venir dans ma vie, et elle a été transformée.
J’ai compris que Dieu est le Créateur et qu’il y a une plus grande différence
entre mon intelligence et la sienne qu’entre l’intelligence d’un microbiologiste
et celle d’une bactérie, parce que le microbiologiste n’a pas créé la
bactérie.
 
Puis j’ai réalisé que Dieu n’est pas seulement
un grand Créateur, digne de respect en tant qu’ingénieur, mais qu’il s’intéresse
à ses créatures, qu’il a un plan pour elles. Lorsque j’ai réalisé qu’il m’aimait
et qu’il était mort pour moi, j’ai décidé de le servir. Et j’ai compris que je
pouvais le faire par ma connaissance scientifique. J’ai commencé à écrire des
livres, des articles, en russe…
 
Mise à l’index
 
J’ai été baptisé en 1985. J’enseignais à
l’université, et peu après mon baptême, mon supérieur m’invita à son bureau. Il
me dit : « Je vous respecte, c’est votre affaire. La seule chose que je
n’admettrai pas ici, c’est de prêcher, de parler de Dieu à votre travail. Ce
n’est pas une église ici. »
 
Je n’ai donc parlé à personne, mais bientôt,
sans que je sache comment, tous mes collègues savaient que j’avais été baptisé.
Beaucoup se mirent à poser des questions, et là je ne pouvais tout simplement
pas résister. Je répondais à chaque question. Comme résultat, mon contrat ne fut
pas renouvelé et je perdis mon travail. J’étais devenu dangereux pour la
doctrine marxiste de l’université. Plus tard, la situation ayant évolué, j’ai
pu, de nouveau, assurer quelques heures de cours à l’Université de Moscou.
 
En 1990, nous avons créé une société pour
organiser des séminaires où nous invitons des croyants et des non-croyants afin
d’étudier l’harmonie qui existe entre la vraie science et la foi chrétienne.
 
Ma vie a maintenant un but. Je n’ai plus peur
de la mort. Je connais ma destinée, je sais où je vais après la partie terrestre
de ma vie. Je vois les choses différemment. J’essaie d’apporter aux hommes
quelque chose, petitement, humblement.

De l'athéisme scientifique à la foi

 
Arrière-plan
 
 
Je m’appelle Dimitri Kouznetsov. Je suis né en
1955 à Moscou, la capitale de l’ancienne URSS, dans une famille athée et
communiste. A l’université, certains cours de philosophie étaient réservés à ce
qu’on appelait l’athéisme scientifique. C’était une sorte d’étude comparative
des religions, totalement négative et destructrice. Mais cela m’a permis, malgré
tout, d’apprendre quelque chose sur la religion. J’étais d’accord avec
l’enseignement reçu. Je pensais que la religion était une sorte de médicament ou
de drogue pour les faibles…
 
Un conte de fées
 
Avant l’âge de 24 ans, je n’ai pas eu la
possibilité de toucher une Bible. Mais peu après mon 24ème anniversaire, un de
mes amis m’en a prêté une, juste pour que je la lise pendant deux ou trois
soirées. Ce livre était pratiquement illégal en Russie et très difficile à
trouver. Je me souviens bien de ma première impression en la lisant. Je trouvais
que c’était un conte de fées. Pour moi, elle n’était pas vraie, mais cependant
intéressante pour les documents historiques qu’elle contenait.
 
Très occupé par ma carrière, j’ai arrêté de la
lire, et je l’ai même oubliée. Après avoir obtenu un doctorat en médecine, j’ai
étudié pendant trois ans la biochimie avec, comme spécialité, la chimie
bipolymère. Ensuite, j’ai obtenu un diplôme en biologie, l’équivalent d’un
doctorat en Amérique, à l’université de Princetown dans le New Jersey, pour une
année de pratique post-doctorat.
 
Rentré au pays, j’ai commencé à travailler
comme chercheur scientifique pour l’Institut de Chimie, qui est membre de
l’Académie Russe des Sciences. Neuf ans plus tard, le gouvernement de l’Union
Soviétique m’a donné un doctorat honorifique en sciences : c’est le niveau le
plus élevé de diplôme scientifique en Russie. J’avais déjà reçu le prix
Lénine-Komsomol, un prix décerné à des scientifiques de moins de trente
ans.
 
Evidences scientifiques
 
Lorsque j’étais étudiant à l’université, j’ai
vu un jour des jeunes qui distribuaient des brochures de manière tout à fait
illégale. Ils m’ont donné un petit ouvrage en russe, écrit par un scientifique
américain. J’ai commencé à le lire, et je fus très surpris par les arguments
très clairs sur le plan scientifique, des arguments qui mettaient en évidence
l’harmonie entre les découvertes scientifiques et la doctrine de la création.
Mon intérêt fut éveillé, j’ai commencé à étudier et j’ai découvert que les
scientifiques les plus brillants du passé, dans la société russe, étaient des
croyants.
 
J’ai rencontré, moi aussi, beaucoup
d’intellectuels qui étaient de vrais croyants. Ils semblaient toujours heureux,
et je sentais que leur bonheur ne dépendait pas des circonstances extérieures.
J’en déduisis qu’ils avaient peut-être quelque chose que je n’avais pas.
 
Cheminement
 
Peu à peu, je me suis mis à lire la Bible. Au
début, sa lecture me rendait fou, parce que je ne comprenais rien. J’étais très
fier de moi-même à cause de ma réussite. Je pensais que j’étais un jeune homme
intelligent, instruit, et là, en lisant ce livre, je ne comprenais rien.
 
Un ami chrétien m’a dit que ma manière de lire
la Bible était mauvaise, que la Bible est un livre que nous devons lire en
restant en contact permanent avec son auteur, et qu’il fallait que je demande à
l’auteur de me l’expliquer. Et ce fut là la raison de ma première prière : «
Seigneur, lui dis-je, si vraiment tu existes, explique-moi quelque chose dans le
livre ! » Et il m’a exaucé dès le lendemain matin. J’ai lu le début de
l’Evangile de Jean : « Au commencement était la Parole ». Le mot grec « logos »
veut dire beaucoup plus que « parole » ; par extension, il a aussi le sens de :
information, connaissance, sagesse…
 
C’était comme une découverte scientifique pour
moi : en effet, une seule cellule de l’être humain contient plus d’informations
que toute la Bibliothèque du Congrès des Etats-Unis. Or, la Bibliothèque du
Congrès des Etats-Unis n’est pas le résultat d’une explosion dans une
imprimerie, c’est le fruit d’un travail créatif de beaucoup de personnes. Ce
seul verset de la Bible m’expliquait plus sur la théorie de l’information que
des livres entiers que j’avais lus.
 
Ensuite, j’ai commencé à prier régulièrement.
J’ai invité le Seigneur Jésus à venir dans ma vie, et elle a été transformée.
J’ai compris que Dieu est le Créateur et qu’il y a une plus grande différence
entre mon intelligence et la sienne qu’entre l’intelligence d’un microbiologiste
et celle d’une bactérie, parce que le microbiologiste n’a pas créé la
bactérie.
 
Puis j’ai réalisé que Dieu n’est pas seulement
un grand Créateur, digne de respect en tant qu’ingénieur, mais qu’il s’intéresse
à ses créatures, qu’il a un plan pour elles. Lorsque j’ai réalisé qu’il m’aimait
et qu’il était mort pour moi, j’ai décidé de le servir. Et j’ai compris que je
pouvais le faire par ma connaissance scientifique. J’ai commencé à écrire des
livres, des articles, en russe…
 
Mise à l’index
 
J’ai été baptisé en 1985. J’enseignais à
l’université, et peu après mon baptême, mon supérieur m’invita à son bureau. Il
me dit : « Je vous respecte, c’est votre affaire. La seule chose que je
n’admettrai pas ici, c’est de prêcher, de parler de Dieu à votre travail. Ce
n’est pas une église ici. »
 
Je n’ai donc parlé à personne, mais bientôt,
sans que je sache comment, tous mes collègues savaient que j’avais été baptisé.
Beaucoup se mirent à poser des questions, et là je ne pouvais tout simplement
pas résister. Je répondais à chaque question. Comme résultat, mon contrat ne fut
pas renouvelé et je perdis mon travail. J’étais devenu dangereux pour la
doctrine marxiste de l’université. Plus tard, la situation ayant évolué, j’ai
pu, de nouveau, assurer quelques heures de cours à l’Université de Moscou.
 
En 1990, nous avons créé une société pour
organiser des séminaires où nous invitons des croyants et des non-croyants afin
d’étudier l’harmonie qui existe entre la vraie science et la foi chrétienne.
 
Ma vie a maintenant un but. Je n’ai plus peur
de la mort. Je connais ma destinée, je sais où je vais après la partie terrestre
de ma vie. Je vois les choses différemment. J’essaie d’apporter aux hommes
quelque chose, petitement, humblement.


24/03/2012
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