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Mon Âme Bénis l'Eternel !

Où passerez-vous l’éternité ?

Où passerez-vous l’éternité ?

 

Certains nient les peines éternelles, ou prétendent qu’elles ne seraient pas éternelles, ce sont des ignorants de l’Écriture, ou des menteurs. Ils sont, en fait, les Instruments d’une ruse de Satan. Lui sait qu’il va dans l’étang de feu, et il cherche à aveugler les hommes pour les y entraîner à sa suite.

Que les tourments des incrédules soient éternels, il ne peut en être autrement. Créature faite à l’image de Dieu, chaque homme a une existence éternelle. Dieu est la vie, la mort c’est la séparation d’avec Dieu. À cause du péché, l’homme est séparé de Dieu, il est mort : «Le salaire du péché c’est la mort» Romains 6:23.

 

L’apôtre Paul, dans sa lettre aux Éphésiens, leur disait : «lorsque vous étiez morts dans vos fautes et dans vos péchés...» Éphésiens 2:1. Il s’adressait bien à des gens qui vivaient, mais ils vivaient jusqu’alors séparés de Dieu, ils étaient «morts». Puis ils avaient entendu la parole de la vérité concernant Jésus Christ, la bonne nouvelle de leur salut, le fait que «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, ne leur imputant pas leurs fautes» parce que «celui qui n’a pas connu le péché, il l’a fait péché pour nous, afin que nous devinssions justice de Dieu en lui». Ils avaient cru cette bonne nouvelle, ils se savaient donc réconciliés avec Dieu (lire 2 Corinthiens 5:19-21), rien ne les séparait plus de leur Dieu ; ils étaient passés de la mort à la vie.

 
C’est la part de tous ceux qui croient en Jésus Christ : «En vérité, en vérité, je vous dis que celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie» Jean 5:24.

La vie éternelle n’est pas seulement une vie qui n’en finit plus, Jésus précise : «C’est ici la vie éternelle, qu’ils te connaissent seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ» Jean 17:3. C’est donc l’acceptation de la révélation de Dieu en Jésus Christ, et l’entrée dans la relation de Père à enfants qui en découle. Tous ceux qui ont reçu Jésus Christ, savoir ceux qui croient en son nom, sont enfants de Dieu, «nés, non pas de sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu» Jean 1:13. Dès lors qu’ils ont cru, ils ont reçu la vie divine.

Mais ce salut de Dieu est offert gratuitement à tout homme quel qu’il soit. Dieu, en Christ, ayant réconcilié le monde avec lui-même, ne leur imputant pas leurs fautes, chaque homme est d’abord, dès sa naissance, destiné, pour ainsi dire, au «livre de vie». S’il méprise cette réconciliation de Dieu, il se trouvera être de ceux dont les noms ne sont pas écrits dans le «livre de vie» Apocalypse 3:5 ; 13:8 ; 20:12.

 

Ainsi ceux qui ne veulent pas connaître Dieu, qui sont comme les Juifs auxquels le Seigneur disait : «vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie» Jean 5:40, ceux-là restent donc séparés de Dieu, c’est-à-dire morts. C’est la première mort.

 

La mort physique n’est qu’un passage pour l’homme, le passage d’un état à un autre, de l’état terrestre avec un corps physique, à l’état spirituel avec un corps spirituel ; jamais l’Écriture ne donne l’idée de cessation d’existence. La piéride ne cesse pas d’exister parce que, de chenille, elle est devenue papillon, ou le blé parce que, de grain, il est devenu plante.

 

Si, durant son existence sur la terre, dans son corps physique, l’homme, par la foi au Seigneur Jésus, a reçu de Dieu la vie éternelle, s’il est entré dans la famille de Dieu par la nouvelle naissance, cette vie, cette relation demeure quand l’homme passe dans le domaine spirituel, et il en jouit dans sa plénitude, car elle se trouve purifiée de ce que l’état premier hérité d’Adam apportait de capacité de corruption, de désobéissance, de mai en tout genre, et le croyant va dans la maison du Père.

Celui qui a refusé cette réconciliation de Dieu, celui qui a méprisé le sacrifice de Jésus Christ, le Fils de Dieu, celui qui a préféré les ténèbres morales à la lumière, qui a choisi de rester séparé de Dieu, celui-là, lorsqu’il passe dans le domaine spirituel, continue de rester séparé de Dieu. Seulement, dans ce domaine-là, les tromperies de son propre coeur, les mensonges de Satan, les divertissements du monde, les illusions entretenues, tout cela n’a plus d’effet, et l’aveuglement qui en résulte disparaît ; l’homme alors, arrive soudain à une terrible lucidité. Le jugement vient lui rappeler ses oeuvres, toutes ses oeuvres, celles qu’il avait oubliées et celles qu’il aurait voulu oublier, et faire oublier ; il prend conscience pleinement qu’il y avait un moyen de salut, que Christ était mort pour expier ces oeuvres-là, et qu’il a méprisé Christ, et qu’il est maintenant trop tard. Il garde un plein souvenir de ses relations sur la terre ; peut-être en a-t-il engagé d’autres, par sa parole ou par son exemple, à suivre le même chemin, mais il est trop tard pour les avertir ; il avait eu du temps pour se repentir, et accepter d’entrer dans la sphère de félicité éternelle, maintenant il est trop tard. Il existera, éternellement séparé de Dieu, tourmenté par ses regrets, ses remords, sans aucun remède. C’est la seconde mort, ce sont les tourments symbolisés par l’étang de feu, image du jugement qui brûle le coeur et vrille la conscience.

 

Il est dit : «ils seront tourmentés aux siècles des siècles», il n’est jamais dit que qui que ce soit les tourmente. Ce n’est pas Dieu qui les tourmente, Dieu ne prend pas plaisir à la mort du méchant ; ce n’est pas non plus le diable, comme une grossière imagerie a voulu le faire croire, le diable est lui-même tourmenté dans l’étang de feu. Mais les tourments causés par leurs regrets amers, la perte de toute espérance ne suffisent-ils pas ?

 

Le feu éternel n’était pas destiné à l’homme, mais il était préparé pour le diable et ses anges (Lire Matthieu 25:41). Si l’homme choisit de suivre le diable plutôt que Dieu, dans la seconde mort il sera avec le diable et séparé de Dieu, c’est logique.

 

On ne saurait donc trop souligner l’importance extrême de la position que prend l’homme durant son passage sur la terre, car l’entrée dans l’au-delà fixe définitivement son état éternel.

 

La question que posait Ponce Pilate aux Juifs, se pose à chacun de nous : «Que ferai-je donc de Jésus, qui est appelé Christ ?» Matthieu 27:22, et personne ne sera tenu pour neutre. Ou bien nous déclarons comme Pierre : «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant» Matthieu 16:16, et comme Thomas nous lui rendons hommage en disant : «Mon Seigneur et mon Dieu !» Jean 20:28. Ou bien nous serons comptés avec la foule criant : «Qu’il soit crucifié !» Matthieu 27.23.

 
Votre avenir éternel dépend de cette position prise aujourd’hui ; car demain, serez-vous encore sur la terre ou déjà dans l’au-delà ?

«C’EST MAINTENANT LE JOUR DU SALUT» 2 Corinthiens 6:2.

 



19/02/2012
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